La lecture Verso du vendredi 1er avril a réuni : Arlette Perussie, Claire Rengade, Florence Vivant.
Claire Rengade, invitée aux rencontres de Saint-Martin d'Hères en novembre dernier, sur le thème du travail, mit en scène un demandeur d'emploi et son interlocuteur en poussant le rapport nov-langue et langue commune jusqu'à l'absurde. Un moment extraordinaire.
Arlette Perussie scrute les apparences, leur jeu de miroirs. Qui sommes-nous ? Qui nous hante ? "Que veux-tu inconnu à venir dans mes soirs / Briser la quiétude des nuits fabriquer des cauchemars ? Serais-tu l'invisible remords l'inconsolable vide ? (...)"
Florence Vivant dénonce la machine impitoyable qui détruit l'humanité : "La nuit se referme sur toi, / mon frère / et la lumière que tu retiens / encore en toi / est plus vive / que ce soleil lointain / qui éclaire des hommes malades / de ne pas trouver leur chemin (...)"
Claire Rengade, invitée aux rencontres de Saint-Martin d'Hères en novembre dernier, sur le thème du travail, mit en scène un demandeur d'emploi et son interlocuteur en poussant le rapport nov-langue et langue commune jusqu'à l'absurde. Un moment extraordinaire.
Arlette Perussie scrute les apparences, leur jeu de miroirs. Qui sommes-nous ? Qui nous hante ? "Que veux-tu inconnu à venir dans mes soirs / Briser la quiétude des nuits fabriquer des cauchemars ? Serais-tu l'invisible remords l'inconsolable vide ? (...)"
Florence Vivant dénonce la machine impitoyable qui détruit l'humanité : "La nuit se referme sur toi, / mon frère / et la lumière que tu retiens / encore en toi / est plus vive / que ce soleil lointain / qui éclaire des hommes malades / de ne pas trouver leur chemin (...)"
Bonjour,
RépondreSupprimerJ'aimerais vous adresser quelques textes sur les conseils de Dominique Pascaud et de la revue Lichen.
Toutefois je ne trouve pas de contact, comment dois-je m'y prendre ?
Bien à vous,
Charles S
Bonjour, vous pouvez envoyer vos textes imprimés à Alain Wexler, 547 rue du Genetay, 69480 Lucenay
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